
… L’autre soir, Ivry Gitlis était à l’auditorium du Louvre …
Juste devant moi, il parle. De ses rencontres avec d’autres musiques, d’autres artistes, d’autres cultures. Pétillant, drôle. Mes yeux ne quittent pas ses mains, fascinés. Des mains d’une finesse extrême, joyeuses, vivantes, gourmandes on dirait.
Je voudrais les photographier.
Je ne peux pas.
Elles provoquent en moi ce drôle de sourire intérieur, qui rythme ma vie de photographe. Ce sourire ému qui me dit que là maintenant, il faudrait « enregistrer » une image.
Et pendant ce temps-là, Ivry Gitlis raconte :
« Quand on me demande, vous jouez encore du violon ? Toujours je réponds, et vous, vous respirez encore ? »
Je voudrais les photographier.
Je ne peux pas.
Elles provoquent en moi ce drôle de sourire intérieur, qui rythme ma vie de photographe. Ce sourire ému qui me dit que là maintenant, il faudrait « enregistrer » une image.
Et pendant ce temps-là, Ivry Gitlis raconte :
« Quand on me demande, vous jouez encore du violon ? Toujours je réponds, et vous, vous respirez encore ? »
Je ne photographierai sans doute jamais ses mains.
Sublime
Tellement beau ! Oui vraiment sublime ! Comme toujours peut-être !