Il était nuit, il était pluie, et le jour est juste cette feuille, une feuille où respire la lumière, si petite luit la grâce divine, en son secret le silence d’une splendeur
Or brouillé d’un matin d’été, s’effeuille la rosée dans les jardins de l’âme, s’effeuille l’amer des jours, et l’aube luit d’un cristal de lumière, une vitre de ciel
Si fine, une buée de pluie, où l’or perle d’un chagrin qui t’aura quitté, car divine est la grâce où se creuse le cœur, se sculpte l’âme
A peine un souffle sur la vitre, comme le respir à peine d’une feuille dans la lumière, et l’or glisse en toi d’un respir de ciel
Il était nuit, il était pluie, et le jour est juste cette feuille, une feuille où respire la lumière, si petite luit la grâce divine, en son secret le silence d’une splendeur
Or brouillé d’un matin d’été, s’effeuille la rosée dans les jardins de l’âme, s’effeuille l’amer des jours, et l’aube luit d’un cristal de lumière, une vitre de ciel