
Je ne sais pas pourquoi …
… mais la parole de ces fous de mots que sont les poètes, les peintres – oui, souvent ils écrivent -, les conteurs et les penseurs, (ces catégories étant d’ailleurs cumulables), a ce très grand pouvoir de me rassurer …
J’avais noté rapidement cette phrase de Deleuze dans un de mes carnets, sans prendre le temps de relever la référence exacte… Juste parce qu’elle résonnait fortement. Je la retrouve ce soir, et sa résonance est intacte.
« A mon envie abjecte d’être aimé, je substituerais une puissance d’aimer : non pas une volonté absurde d’aimer n’importe qui, n’importe quoi, non pas s’identifier à l’univers, mais dégager le pur événement qui m’unit à ceux que j’aime. »
Jolis mots et joli petit coeur « pansementé » ;)