
Et toujours plus avant dans ta vallée.
Tes senteurs de mousse conservent intacts
Rêve et mémoire. Un fuchsia crevant l’écran,
Et l’on s’introduit dans ton plus intime.
La grive appelle ; les rocs doucement saignent.
Près de l’étang, là-bas, le saule natal
S’abandonne à la paix d’après les pleurs.
François Cheng – A l’orient de tout
Tu as le sel l’iode et l’ecume de la Mer en toi…*