
… ….
« Rien n’est plus fragile qu’un sourire. Il dissimule parfois de douloureuses intermittences du cœur, la nostalgie, cette patrie perdue mais jamais oubliée, la neige qui tombe à Noël et un éclat de lune sur un livre aimé. Et, de ces métaphores ombrées et iridescentes renait une ultime image de la fragilité… manifeste aux seuls yeux baignés de larmes. »
C’est la dernières phrase d’un très beau livre, que je viens juste de terminer :
Eugenio Borgna – La fragilité – Ombres et lumière d’une notion protéiforme – Enrick B. Éditions – 2015
Votre commentaire