
Et puis (re)croiser l’homme oiseau …
… au hasard des rues de Charleville, une nuit de septembre …
Magique.
« Ce sont des gens de déroute
d’exil et de grand vide
qui prennent souffle dans le feu
et le secret éclat des songes.
A distance ils se tiennent proches
d’un nuage en cavale
d’une source perdue dans les yeux d’une fille
ou du silence qui suit le rire trop vaste
d’une tragédie sans objet. »
André Velter – Mouvements in L’arbre-seul – Gallimard – 1990
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