
J’ai guetté pendant des heures le passage de l’air sur le calme de l’eau.
L’épaisseur de la lumière.
L’infinie complexité d’un bleu dans le reflet d’une feuille sur l’eau.
Je me posais toujours les mêmes questions : Comment représenter le vent, Comment penidre le vide ? Et la lumière ?
Sa purerté, sa clarté ?
Je ne voulais pas représenter, mais juxtaposer les formes, les assembler, pour qu’on y retrouvât le souffle de l’air sur le calme de l’eau.
C’est une parole volée à Zao Wu Ki, que peut-être j’ai déjà publiée ici. J’espère que vous ma pardonnerez l’éventuelle redite. Mais en la relisant aujourd’hui, elle a résonné vraiment fort.
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