avancer

dans le sang de la nuit

laisser les songes advenir

les fantômes des arbres

rôdent autour de toi

noirs et immobiles

tu pleures la tristesse des forêts

poisseuse sur les joues

éclats de verre

qui griffent le regard

et tu rêves aux étoiles

qui chavirent les esprits

la nuit seule

consent l’étoilement

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