
Through my woods
» Le calme apporte un bien-être tactile. Il est à l’extérieur et demande un grand abandon. Quand j’observe un arbre, le regard et la sensation l’interrogent plus fort, plus passionnément. Et cette intensité paraît incompatible avec le calme tactile. Ces moments de contradiction sont si vivants, il faut les comprendre pour aller plus loin, vers plus d’intensité. »
Alexandre Hollan – Je suis ce que je vois (Notes sur la peinture et le dessin – 2006-2011)
…Les barbelés de l’art *