
« L’eau et les rêves »
Le livre de Bachelard posé sur le bureau, près de l’écran.
L’ouvrir, au hasard d’une page, y découvrir cette phrase. Envie de la noter et de revenir réfléchir au bord de ces mots-là. Plus tard :
« (…) il semble que l’eau et la nuit prennent ensemble un parfum commun ; il semble que l’ombre humide ait un parfum d’une douce fraîcheur. On ne sent bien les parfums de l’eau que la nuit. Le soleil a trop d’odeur pour que l’eau ensoleillée nous donne la sienne. »
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