Par : mondessensibles
Juin 25
Catégorie: les mots des autres
6 Commentaires
« Qu’est-ce qui se ferme et se rouvre
suscitant ce souffle incertain
ce bruit de papier ou de soie
et de lames de bois léger ? »
(Philippe Jaccottet – Et l’encre serait de l’ombre)
Comme une brise du regard, à peine, où légère bat l’aile de la nuit, son souffle de cristal
La douceur d’une joue, et la lame d’un regard, secret de brise d’un éventail
Le regard glisse, et fuse un battement de cil, si léger, où pulse la main, et fugue dans un souffle
A peine un regard, et l’esquisse d’un souffle, où glisse et se froisse la nuit
L’aile de ton regard est ce souffle du soir où s’éclaircit la nuit
[…] mondessensibles.com/2014/06/25/3939/ […]
Δ
Comme une brise du regard, à peine, où légère bat l’aile de la nuit, son souffle de cristal
La douceur d’une joue, et la lame d’un regard, secret de brise d’un éventail
Le regard glisse, et fuse un battement de cil, si léger, où pulse la main, et fugue dans un souffle
A peine un regard, et l’esquisse d’un souffle, où glisse et se froisse la nuit
L’aile de ton regard est ce souffle du soir où s’éclaircit la nuit
[…] mondessensibles.com/2014/06/25/3939/ […]